Voici un poême de maître Pelican.
C'est dans un ciel bleu azur,
Que commençais cette belle aventure,
Un Pelican d'une très grande fierté,
Aperçus une marmotte isolée.
Mais caché dans cette peluche adorable,
Se cachai une guerrière redoutable,
Pour affronter une telle combattante,
Il ne lui fallait pas que des fientes.
Un Mouak retentit dans les bois,
Et tornado le fidèle cheval arriva,
Egallement dans un roulement de tambours,
Le pingours vint a son tour.
Mulots nade, fientes et destrier,
Ne viendrai pas a boût de la motte rusée,
Le second Mouak retentit,
Et l'armée d'écureuils répondit.
Epeistes et archers,
Fusillers et grenadiers,
Il y avait vraiment de tout dans ce lot,
Que tornado piétinnait a coups de sabots.
L'assaut fût vif comme un éclair,
La malheureuse ne pût descendre sous terre,
Un coup de feu retentit,
Et deux écureuils se retrouvaient sans vie.
Malgré sa résistance courageuse,
Sa fin ne pouvais être heureuse.
La marmotte fût vite cernée,
Par la plus féroce des armées,
Une larme coulait le long de sa joue,
Elle espérait que le souffle de la mort serait doux.
Pelican stoppa son commando,
Il posa patte a terre et renvoya tornado,
Il ne pouvait tuer la marmotte ainsi,
Pelican s'escusa auprès de sa nouvelle amie.
Une fin bien romantique,
Pour la brave marmotte,
Qui méritai ce moment magique,
En compagnie de son pelican.
L'histoire pourai s'arrêter là,
Mais l'armée de l'oiseau était encore en tas,
Pelican renvoya son peloton,
Un départ sans grande précaution.
Car le pingours bombardait les rongeurs,
Qui fuyaient devant le taré de nadeur,
Sous les regards d'un tornado rieur,
Qui s'imaginai déjà avec une gazelle en chaleure.
By Maître Pelican de la Pelicanie.
Merci a Marmotte, Pinguin et tornado et dédicaser ce poême